... Mesdames, messieurs, bienvenue dans l'infosoire week-end. Voici les titres. Le retour à gagnant pour le SIAM la 15e édition est un succès comme en atteste les chiffres clés du salon international de l'agriculture au Maroc. Les détails dans un instant. La série de retours dans l'enceinte de la Ligarabe après plus de 11 ans d'exclusion, décision prise lors d'une réunion d'urgence, à laquelle a participé le chef de la diplomatie marocaine à suivre le décryptage du professeur Zekalia Bouddha. Dans notre rubrique de mal, la UNI sera question du jour ferrier décrété ce lundi à l'occasion du couronnement du roi Charles III, un événement célébré dès aujourd'hui à travers plusieurs rassemblements. Et vous verrez l'ambiance du 18e cas à fashion show, l'événement qui unit la mode et la musique par les liens sacrés du glamour. Le rideau est donc tombé sur le 15e SIAM pour son grand retour. L'événement majeur de l'agriculture au Maroc a frôlé le million de visiteurs en six jours d'activité. Les détails dans ce reportage à Meknes de Sarah Jabri et Abdelah Danouch. Mariam est à la tête d'une start-up spécialisée dans la technologie du biogaz. Elle cible les agriculteurs qui souhaitent réduire l'impact de leur activité sur l'environnement. Pour cette jeune entrepreneur, exposer ses services pour la première fois au SIAM lui a permis de convaincre de nouveaux clients et de promouvoir des alternatives innovantes, durables et abordables. Cette première participation au salon, il nous a permis d'agrandir déjà notre autorité, de nous faire connaître notre technologie, de dire aux agriculteurs qu'il y a des technologies qui ne sont pas forcément chères, qui leur proposent des solutions durables. Le smartphone aide maintenant les inventions, elle aide maintenant à une culture moderne, soit pour l'irrigation, soit pour les maladies, soit pour les engrais. 40 start-ups marocaines et étrangers réunis autour d'une ferme digitale immersive, 1400 participants représentant 70 pays, 500 coopératives et groupements d'intérêt économique. La plus grande ferme du Royaume, dans sa 15e édition, s'est installée 7 années, sur 18 hectares, c'est 10 % de plus comparé à la précédente édition. Beaucoup de étrangers et de demandes d'étrangers qui ont déjà réservé leur place pour les prochains 70 pays, nous ont accompagné, qui sont arrivés avec de nouvelles variétés, nouvelles semences, de nouvelles technologies d'une manière générale. 6 en 2019, 850 000 visiteurs avaient foulé les Allé-du-Ciam cette année. La barre des 900 000 a été largement dépassée. Direction Sarfé la présent avec cette visite, des lus locaux étrangers ont pu découvrir sur place l'un des hauts lieux de l'histoire du Royaume. Reportage Feridrejtzo et Yassil Azaz. A l'occasion de leur 6 jours, cette quarantaine d'élus locaux venus principalement d'Europe ont consacré leur première visite à la découverte des enjeux historiques de la bataille de Wadlamahazine. L'occasion de mieux connaître les spécificités culturelles de la région à travers son héritage et son patrimoine. Cette visite s'est réalisée pour renforcer la coopération culturelle, les échanges au dedans du monde méditerranéen et au dedans du monde qui parle portugais. Pour mieux découvrir l'architecture typique de l'ancienne Medina d'Orksalkber. La visite s'est également ponctuée par une balade dans ses ruelles étroites qui préserve la mémoire de toute une région. On a eu des explications concernant la mort du Royaume et cette visite qui était très symbolique. Et là, visiter une partie de la Medina, c'est surprenant. Avant de quitter la ville, le groupe d'élus s'est rendu dans ce musée consacré à la préservation du patrimoine commun, en plus de la vie étudiée et plus généralement méditerranéen. L'actualité de ce dimanche, marqué par le retour de la Syrie au sein de la Ligue Arabe après plus de 11 ans d'exclusion pour le chef de la diplomatie marocaine, qui a pris part à la réunion d'urgence au KERS, doit lancer un processus politique menant à une solution globale et durable de la crise dans ce pays. Les développements avec où ça m'apprallent. La décision a été prise lors d'une réunion d'urgence du conseil de la Ligue au niveau des ministres du pays après-midi. Ainsi, les délégations du gouvernement syrien pourront participer à l'ensemble des organisations et mécanismes relevants de la Ligue. Le chef de la diplomatie marocaine, Nassar Bourletta, a rappelé que les liens entre le Maroc et la Syrie qui ont combattu ensemble lors de la guerre d'octobre de 1973 pour la défense de l'intégrité territoriale de ce pays sont historiques. Sa Majesté, Laurent Mahmoudsis, a toujours accordé une attention à la crise syrienne et ses répercussions pour les troubles et les violences qui ont affecté ce pays au cours des 12 dernières années, ont eu un impact considérable sur les Syriens. Le ministre des Affaires étrangères du Maroc a ajouté que cet engagement commun pour la résolution de la crise syrienne devra se faire en respect du principe de non-ingérence et de préservation de la souveraineté de la Syrie, de son intégrité territoriale et de la cohésion de sa société, afin de faciliter le retour des réfugiés, de lutter contre le terrorisme sur toutes ses formes et de ce processus de la réconciliation nationale. Et à ce sujet, nous retrouvons en direct en duplex de Rabat notre consultant Zakaria Bouddhaib. Bonsoir, professeur, avant de parler d'avenir. Rappelez-nous d'abord, dans quel contexte la Syrie avait-elle été exclue en 2011 ? Donc, il y avait un contexte régional en sens ouviens, appelé bouleversement géopolitique qui ont impacté beaucoup de pays arabes, la Libye, l'Egypte, la Syrie, le Yemen, ainsi que d'autres pays. Et à l'époque, c'était précisément en novembre 2011, la Ligarab avait demandé aux autorités syriennes de s'abstenir d'utiliser la force disproportionnée contre les civils qui ne sont pas protégés, néanmoins, au regard de la Ligarab précisément, le régime de Pshar, à ça d'allépôt, n'avait pas réagi proprement à cette demande. Et donc, il y a une sorte de dérive, et par conséquent, exactement le 16 novembre, avait commencé le processus de suspension de la série de la Ligarab. Évidemment, la Ligarab, à l'époque, avait même demandé au Conseil de sécurité de prendre des mesures d'urgence, puisqu'il eut le premier responsable du maintien de la paix de la sécurité, néanmoins, il y avait le veto russe et chinois. Et donc voilà, le contexte à l'époque, c'était un contexte de bouleversement géopolitique, utilisation disproportionnée de la force, et la Ligarab avait pris cette décision de suspension aujourd'hui donc levée. Qu'est-ce qu'il y a à militer, justement, au retour de Damas dans les instances de la Ligarab aujourd'hui ? Je vois, il y a des facteurs conjugués, d'abord sur le plan régional, puisque, vous savez, la crise syrienne a eu des impacts l'hémitrophes par rapport au Liban, par rapport à la Turquie, ainsi que par extension même, par rapport à d'autres pays. Et donc l'essentiel aujourd'hui, nous sommes dans un tournant, un moment d'inflexion, puisque pratiquement, on peut dire que la guerre civile, entre guillemets, a cessé. Par ailleurs, le tremblement de terre même, qui a impacté considérablement la série en février, 2023, avait montré la fragilité du régime et également avait aggravé la situation humanitaire, ce qui fait que des pays avaient pris l'initiative sur le plan arabe, notamment l'Arabie Saoudite, les Émires Arabes Unis, il y a également l'Égypte, l'Iraque même qui est revenu au niveau de la Seine régionale. Et donc depuis ce moment-là, une réflexion s'est faite pour précisément permettre la réintégration de la série au sein de la normalité arabe. N'oublions pas que l'accord entre l'Arabie Saoudite et l'Iran au sujet de rétablissement de leur relation diplomatique avait contribué considérablement à la situation actuelle. Professeur, comment ce retour pourrait impacter l'action commune arabe en prévision du 32e Sommet prévu le 19 mai ? Exactement, le 19 mai, à Jeda. Donc, en Arabie Saoudite, c'est un sommet des chefs d'État et de gouvernement qui va se tenir précisément ce qu'on dit aujourd'hui. C'est vrai sur le plan opérationnel, c'est un pas, mais il reste insuffisant. D'ailleurs même, la déclaration issue aujourd'hui à travers la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères relevant de la Ligue Arabe avait retenu six points, dont le cinquième, c'est d'abord le retour de la série au sein de la Ligue Arabe, mais en même temps, engager un processus de normalisation. Il y a des questions compliquées, comme le retour des réfugiés, comme également la lutte contre l'insécurité, la lutte contre Daesh et ces fièves qui sont toujours là, la lutte contre les ministres qui contrôlent parfois des chemins de transit, sans parler de l'immiction d'un certain nombre de pays étrangers. Vous savez, la Turquie est citée, les États-Unis, ainsi que d'autres. Et donc, on voit qu'il s'agit d'un premier pas, mais maintenant, ce qu'il faut, c'est d'aller vers une approche pragmatique et véritablement attaquer les questions fondamentales qui interpelle le citoyen arabe. Dernière question à l'issue de sa réunion d'urgence, le Conseil de la Ligue des États arabes a souligné le rôle joué par le comité Al-Khotsh, Président par sa Majesté, le Roi Mohamed VI, dans la préservation du Statue juridique de la Ville-Saint et le soutien de ses habitants. Quelle lecture est-ce que vous en faites ? Alors, déjà, dans la déclaration faite par M. Borita, le chef de la diplomatie marocaine, aujourd'hui même, en rappelant que le Maroc, entre autres, a contribué à la guerre d'Octobre 1973 aux côtés d'autres pays arabes, dont la Syrie, d'ailleurs, avec qui nous avons des liens historiques plus que millénaires mêmes, puisque la Syrie, c'est un vieil état, ou un vieux pays. Par ailleurs, donc, le Maroc est l'adepte d'une approche de modération, mais une approche qui est, on va dire, axée sur les résultats. Nous sommes pour l'action commune, bien entendu, mais au-delà, il faut engager un processus véritablement de réconciliation entre les pays arabes, puisque je rappelle que certains pays avaient adopté une position contre l'unanimité arabe. Ce n'est pas la peine de les citer, mais l'essentiel, c'est que le Maroc a des privilèges historiques qui sont là, consolidés, et il a toujours plaidé pour une action régionale, mais coordonnée avec l'approche multilatérale au niveau de l'ONU ainsi que d'autres instances. Et je crois qu'il est bien placé aujourd'hui de jouer un rôle très important pour ressouder les liens et engager réellement une action commune arabe, basée encore une fois sur des résultats concrets. Merci beaucoup, Zakaria Bouddhaab. Je rappelle que vous êtes expert en relation internationale, l'actualité internationale, justement, encore marqué par ces dramatiques inondations en République démocratique du Congo. Des vagues debout ont submergé, jeudi dernier, les habitations dans l'est du pays, faisant près de 400 morts selon le Bile en provisoire, les sinistrés qui se comptent par milliers, espère désormais l'aide de la Croix-Rouge. Autour à l'actualité nationale avec cette campagne de Dendesson au profit de patients qui luttent contre le cancer. C'est la première info des faits marquants de cette semaine dans ce tour des régions, en 80 secondes pilotées par Jaisal Hamali. Au coeur de la capitale spirituelle, c'est les fervécences pour les organisateurs de cette campagne de Dendesson. Durant trois jours, les donneurs se sont succédés pour à la fois renfouir les stocks à l'échelle régionale, mais aussi au profit des patients atteints de cancer, près de 300 poches de sang ont ainsi pu être récoltés. Dans la Ville-Ocre, ce colloque international s'est tenu sous le thème démocratie et gouvernance qu'elle reconfiguration à l'ère d'une numérique et de l'intelligence artificielle, l'occasion de discuter des différentes pratiques dans ce sens, une problématique qui s'inscrit dans un programme ambitieux qui a été lancé il y a deux ans par le centre d'études et de recherches internationales sur les politiques publiques. Dans la parle du sud de cette conférence nationale, a eu lieu dans le cadre de la mise en application de la feuille de route 2022-2026 de la réforme de l'enseignement qui repose sur trois axes, l'enseignant, l'élève et les établissements d'enseignement. Avec pour thème la mise en oeuvre du professionnalisme de l'enseignant, cette deuxième édition a permis notamment de rapprocher tous les acteurs du secteur. Du côté de Tiznit, la première édition du Forum provincial d'Orientation était un succès pour les établissements participants. En plus de découvrir de nouveaux débouchés, les étudiants ont également pu échanger autour de la expérience avec de nombreux lycéens. Le but, choisir la bonne voie après avoir obtenu le baccalauréat. Vous êtes bien dans Infoswar Weekend, nez à P, surtout pas dans un instant. Jamaloua, elle nous parlera de la 17e Coupe Internationale Mohamed Sis de Karate, prévu le 12 mai prochain, à Rabat. Et nous accueillons l'actrice scénariste et réalisatrice Samia Cario. Elle nous parlera du 2e Mobile Film Festival Africa dont elle est membre du jury, un rôle qu'elle prend très à coeur. Et tout de suite, dans notre rubrique demain à la une, le lundi décrétait férié en Grande-Bretagne pour honorer le couronnement hier du roi Charles III. En attendant, les Anglais se sont retrouvés dans les rues pour fêter l'événement à commencer par le premier ministre, Osama Pradi. Après le couronnement solonnel vient l'heure du Big Lunch. Cette tradition britannique qui voit déjeuner collectif est faite de rues organisées dans tout le pays. Devant le Diz Down in Street, de grands tables sont dressées de mug, Roi Charles III et les murs sont parées de guirland et de fagnon. Rishi Sunak et Akshata Morty accueillent des bénévoles, des groupes de jeunes ainsi que des réfugiés ukrainiens invités à partager ensemble un repas. Après quelques selfies avec le premier ministre, la première dame américaine, Jill Biden, se joue à la réception. Arrive le moment de partager la quiche du couronnement, un plat composé d'épinards, de fèves et des stragons. En outre exemplaire, le premier ministre restera au petit soin de ses invités tout au long du repas. À travers le pays, plus de 67 000 éditions du Big Lunch ont eu lieu ce dimanche. Une tradition tenue lors des couronnements et des jubilés royaux. De son côté, le couple royal a également organisé une réception privée au château de Windsor avant d'assister au concert prévu en après-midi. L'Andy a été spécialement accœur des ferriers à l'occasion du couronnement et devrait voir des actions de bénévola à travers le Royaume-Uni. Comme tous les dimanches, nous vous proposons notre sélection des personnalités qui ont fait l'actu cette semaine. On commence avec le nouveau président du Paragru et Santiago Peña. On prendra à ses fonctions le 15 août prochain pour un mandat de 5 ans. Le chef de l'État a reçu cette semaine et à cette occasion, les félicitations de sa Majesté, Mohammed VI. Lui était le candidat des États-Unis. Ajay Banga, chef d'entreprise d'origine indienne, a été le mercredi dernier à la présidence de la Banque mondiale, un poste qui l'occupera officiellement le 1er juin prochain. Les fans de pop britannique qui auront reconnu Ed Sheeran, le chanteur a remporté jeudi dernier son procès à New York. Depuis 8 ans, il était poursuivi pour un plagiat, un titre de Marvin Gaye, les juges l'ont innocenté. Enfin, Lionel Messi, qui n'en finit pas de faire parler de lui et mardi dernier, son club le PSJA a décidé de le suspendre pendant 15 jours pour avoir manqué l'entraînement à la veille. Le footballeur argentin s'était rendu en Arabie saoudite pour honorer un contrat de 30 millions d'euros. Et voilà qui nous amène à la chronique sport de Jamel Well. Bonsoir et vous avez choisi, une fois n'est pas coutume, de nous parler du grand rendez-vous de Karate prévu à Rabat. Bonsoir, monsieur Arwadiyen. La 17e édition de la Coupe internationale Mohammed VI de Karate s'annonce grandiose. Du 12 au 14 mai prochain, c'est une participation record de 440 cas venus des quatre coins du globe qui est attendue au complexe prince Moulin Abdelade Rabat. Cette compétition du circuit Karate a un 1er ligue et la 2e des 5 épreuves majeures classées par la Fédération mondiale. Enfin, en janvier et à l'open du Caire en Égypte, le Maroc a remporté une médaille de bronze lors de la 1re épreuve du circuit. C'est chez Emma L. Heiti, en moins de 50 kg, qui s'est illustré le duel avec les Karatek à Égyptien. Son parmi les plus forts au monde s'annonce de nouveau, Alton, l'Egypte grande vainqueur l'an dernier, le rééditer son explor. Et le Maroc, lui, va tenter de faire mieux que la moisson récolter l'an dernier. Avec 4 médailles, 1 en or, 1 en argent et 2 en bronze, les Karatek à Marocains se sont illustrés l'an dernier. Face au gratin mondial, les représentants marocains avaient réussi à tirer leur épingle du jeu. Cette année, l'objectif est de faire mieux encore organisé sous le patronage de sa Majesté, l'Odh. Mohamed VI. Cette compétition est l'occasion de montrer au monde entier le niveau du Maroc dans ce sport, en pleine expansion dans le royaume. Ablaali Jinnah va tenter de conserver sa médaille d'or, acquise en moins de 60 kg. Nisrin Brouk voudra, elle, cette fois-ci, atteindre le graal en moins de 68 kg après sa médaille d'argent, décroché l'an dernier. Fatim Zara Chajai en moins de 61 kg. Et Nabil Shabbi en moins de 84 kg viseront, eux, la finale et une breloque plus prestigeuse que celle en bronze décrochée en 2022. Il faut dire que cette compétition rapporte de précieux points pour les prochaines échéances. La Coupe du monde de Karatek va avoir lieu en Hongrie, ce sera en octobre prochain. Ablaali Jinnah, médaille de bronze en moins de 60 kg en 2021 à Dubaï. L'un des combattants les plus en vues de sa catégorie, l'objectif de devenir le premier marocain champion du monde senior trott dans sa tête, il sera observé à Rabat devant son public. On gêtera également un œil sur les Karatekas nationaux juniors qui ont réussi la belle performance d'obtenir 8 médailles, 3 en argent et 5 en bronze lors des championnats du monde junior. C'était en octobre 2022 à Konya, en Turquie, à eux de rééditer un tel exploit en senior à Rabat devant le public marocain. Merci beaucoup, Jamal. Et à la semaine prochaine, on ouvre maintenant notre page culturelle avec cette initiative. Pour le moins original, baptisez le droit par l'art lancé par l'université Abdelmelle exédit de Tétouan, les ministères de l'enseignement supérieur et de la culture. Elle a pour vocation, comme son nom l'indique, de rapprocher le grand public de la matière juridique à travers des actions artistiques, un joli mélange des matières auxquelles contribuent au premier plan les étudiants qui ont pris leur quartier au sein de l'ancienne gare de Tangé. Et nous recevons à ce sujet la Chargée de communication en l'université Abdelmelle exédit de Tétouan. Leil a échémis. Bonsoir, bienvenue. Comment, à vos yeux, peut-on ou doit-on rapprocher le droit à travers l'art ? Bonsoir, Wadiou. Merci d'abord pour l'invitation, pour l'accueil et pour l'intérêt que vous portez au projet. Le projet de droit parlant est lancé par le ministère de l'enseignement supérieur de la recherche scientifique et de l'innovation en coopérant avec le ministère de la jeunesse, de la culture et de la communication, tout en s'alignant avec les orientations stratégiques du Pacteserie 2030. Donc, le projet vise à simplifier, à dissiminer, à expliquer le droit à travers la création artistique et culturelle. Donc, au niveau de l'ancienne gare de Tangé, 28 œuvres sont installées de différents types, culture, peinture, photographie, musique, chorégraphie, etc. et qui essaient d'expliquer 28 thématiques de droit, droit plein à droit commercial, etc. Donc, ça, c'est l'objectif du projet. Est-ce que c'est aussi une manière de rendre l'art plus accessible à travers le droit, inversement ? Exactement, c'est l'objectif principal. C'est d'assurer une complémentarité entre le droit et l'art. D'ailleurs, les œuvres d'art expliquent et s'imprénuent du droit et le droit, en même temps, il régit l'art. Donc, c'est complémentaire dans tous les camps. Concrètement, comment avez-vous fait travailler ensemble des juristes et des artistes ? Alors, nos mamans nous avons remarqué une interaction magnifique entre les juristes et les artistes. Alors, les juristes n'ont mélangé aucun effort pour expliquer les règles de droit à travers des capsules et puis les artistes se sont exprimés à travers le revoir d'art sur leur manière de voir les articles d'autrement. Concrètement, quelles sont les actions qu'on peut assister jusqu'à la fin du mois au niveau de l'ancienne gare de Tangé ? Alors, l'exposition est ouverte du 5 au 31 mai. Alors, je tiens à préciser que les étudiants de l'université, Abdel Melsk, s'est dit, se sont engagés pour y réussir le projet. Alors, ils seront présents à la galerie pour expliquer les œuvres d'art aux visiteurs. Il y aura des tables rentes qui expliquent également le droit et la première table rente commencera demain, à 15 heures. Et puis, il y aura également des visites qui seront guidées par les étudiants, pour les associations, les lycéens et les collégiens. Donc, le projet s'alignit automatiquement avec la stratégie de développement de l'université Abdel Melsk s'est dit, qui visaient être une université citoyenne, créative, innovante, et qui est focalisée sur la responsabilité sociétale et sur une pédagogie innovante. Vous le montrez à travers cet événement, en tenant à le souligner. Merci infiniment à Laila Ishim. Je rappelle que vous êtes chargé de communication à l'université Abdel Melsk s'est dit de tétoin. Et on poursuit avec le deuxième mobile film Festival Africa pendant tout ce mois, les 54 films issus de 21 pays en lice au cours de cette édition sont diffusés en ligne sur les supports de l'événement. Ils seront départagés le 8 juin prochain dans la ville de Raban, tant que capitale africaine de la culture, pour l'occasion, un grand prix maroc sera même décerné par un jury à moitié marocain. Et parmi les membres du jury, figurent l'actrice, scénariste et réalisatrice marocaine Samyak. Riyuki nous a rejoint sur le plateau d'infos soir week-end. Bienvenue, ravi, vraiment, de vous recevoir. Lorsque vous avez commencé votre carrière dans le 7e mars, est-ce que vous vous étiez imaginé un jour que l'on pourrait réaliser des films avec des téléphones ? Alors là, pas du tout. C'était inimaginable. Surtout que j'ai commencé avec du 35 mm, et donc avec l'abandon de l'air du 35 mm, le cinéma numérique fait un boom, et que le boom technologique exerce encore de nouvelles technologies jusqu'à maintenant. On ne sait pas ce que sera demain. Est-ce que l'avenir nous réserve ? Exactement, nous réserve encore. Et encore plus avec un téléphone. On peut faire un film, c'est extraordinaire. On peut faire un film d'une minute et participer au Mobile Film Festival. Il y a 54 films en compétition, je disais. Beaucoup de films marocains. Il y en a une douzaine. D'ailleurs, on va voir quelques images de certains d'entre eux. Quelles impressions ont-ils faits, ces films qui ont été retenus ? Magnifique. J'en ai vu jusqu'à maintenant une trentaine. Vous savez, j'aime garder aussi la fraîcheur. J'ai la responsabilité de faire partie de ce jury, et j'ai la responsabilité d'être juste et objective. Et donc, du coup, j'en vois un ou deux ou trois, et puis je me repose pour voir le reste tranquillement. C'est des bijoux, c'est des jeunes qui veulent exercer dans le cinéma, qui veulent émerger aussi en tant qu'artiste. Et puis, cette occasion, le referira, inshallah, une occasion pour s'exercer, pour nous montrer ce qu'ils savent faire aussi. Je disais, parmi les candidats, des marocains, quand vous regardez ce qu'ils proposent, vous vous dites que la relève est assurée ? Moi, je dis, franchement, bravo. La relève est complètement assurée, parce qu'on en a besoin aussi de cette fraîcheur. On a besoin de nos jeunes pour faire développer le cinéma en Maroc. C'est vrai que ce festival permet aux jeunes de supprimer toute contrainte économique. Du coup, avec ton portable, tu peux faire un film, c'est vrai que, aussi, il faut dire, une minute, c'est pas évident. Donc, pour chercher les perles rares, c'est qu'ils doivent écrire ce film. Écrire une minute n'est pas plus, pas moins. C'est une contrainte de taille. Et du coup, c'est pour aussi faire pousser la concurrence et l'intelligence des artistes. Justement, en tant que membre du jury, quel sont les critères sur lesquels vous allez mettre l'accent auxquels vous allez prêter attention avant d'annoncer le palmarès le 8 juin à Rabat ? C'est vrai qu'on n'est pas encore là. Il va falloir qu'on débate. Mais pour moi, l'émotion est primordiale. Un film, en fait, dans un jury, c'est toujours subjectif, vous le savez, mais il va falloir réunir un accord autour d'un seul film. Moi, ce qui m'anime dans un film, dans ce que je regarde en général, c'est l'émotion. C'est cette émotion qui va m'animer. Après, c'est vrai qu'il va falloir aussi que la thématique, ou plutôt le propos, l'originalité du propos aussi, matire. C'est absolument magnifique. C'est des sujets qu'on ne peut pas aborder. Nous vieux, peut-être, mais chez un jeune, c'est primordial pour lui. L'actualité, elle se bouscule, puisque vous êtes membre d'un jury. Mais vous venez aussi d'être primé. C'était hier, au 1er Festival Pan-Africain d'Acar Series, pour Brett Hayatsek. Ça tombe bien, c'est une production 2ème. Réalisé par Chauquée Leuphier, vous décrochez le prix de la meilleure série courte. Ce qui n'est pas rien, mais le prix du meilleur scénario auquel vous avez participé et réaction. Je suis très contente. On l'a suivi très tard dans la nuit. Je dis une citation qui me tient à coeur, c'est de dire qu'il n'y a que le travail qui est paix. Vous savez, on arrive à un an où ils te disent l'audience, mais la qualité doit primer aussi. Et le prix de Hayatsek, c'est le résultat, le fruit de ce travail. On a souffert pour écrire cette série. C'est pour dire que le Maroc peut aussi écrire des séries premiums, sans rentrer dans les détails d'une audience ou d'un marché qui est pitoyable, pour mettre moi la... On peut faire de la qualité. Oui, aussi. La série a été diffusée en dehors du mois sacré. Ce n'est pas évident de capter un public en dehors du mois sacré. Vous le savez plus que moi. Il y a des chiffres à respecter. Là, on arrive avec une série qui a un propos original et qui a été réalisée par un jeune qui se bat, qui s'est bâti pour garder la qualité du scénario, surtout. Le réalisateur, Shawrky, l'Aufir, il sera dans le messager, juste après cette édition, pour défendre le projet. Je tenais à vous donner la parole en tant que cosénariste. Merci. Je tiens à remercier la chaîne et mes deux producteurs, Amine Benjelon et Nabil Ayush, parce qu'ils nous ont fait confiance et dire félicitations à mes co-auteurs, Jawad Lahlo et Nora Skali. Voilà ce qui est dit. Merci, Samia Khalil. Mme du Jury du Mobile Film Festival Africa, qui sera présidée par Gade... Oui, par Gade... Notre Gade nationale. Merci beaucoup. On déroule notre page culture avec le mariage entre le monde de la mode et celui de la musique, le 18e Casa Fashion Show, a fait tomber une pluie de stars sur la capitale ECO de Big, qui est reçoit avec en tête d'affiche Madal Benjelera et Gim. C'est reportage. Et vous, ça l'a l'air. 1, 0. C'est parti pour le Casa Fashion Show. Une 18e édition plus vibrante et colorée que jamais, avec pour thème tout feu tout flamme. Entre créateurs marocains et enseignants internationales, ils étaient une vingtaine à présenter leur collection sur le podium avec pour principal but, mettre en avant la femme d'aujourd'hui. Une créativité sans bord n'est des pièces explosives et pétillantes de couleur. Je crée quelque chose, c'est pour rendre la femme belle, pour que la femme soit séduisante. Et le plaisir de séduire, comme je le disais au début, n'est pas accessoire. Une ambiance festive et chaleureuse, sous les sonorités envoûtantes de Madal Benjelera et Gim, ce dernier a fait vibrer le public avec son interprétation du titre iconique de la Coupe du Monde. Je suis super content d'interpréter, surtout que je pense qu'elle rappelle de bons souvenirs au Marocain avec cette demi-finale. Donc c'est que du positif. Donc ça va être nostalgique. Bien plus qu'un défilé, il s'agit d'un spectacle qui mêle mode, musique et danse. Le Casa Fashion Show s'est imposé encore une fois comme le rendez-vous mode incontournable des fashionistas. Grâce à Kenzashi Dedi, son initiatrice, l'événement gagne d'année en année en influence sur la scène marocaine et internationale. 12 ans du Casa Fashion Show. Je vous rappel une des principales informations de ce dimanche 7 mai, la fin en apothéose du SIAM, la 15e édition du salon international de agriculture au Maroc Afro, le million de visiteurs, une fréquentation qui traduit un retour réussi du plus grand événement de la capitale Ismaélienne. Dans un instant que du sport suivi d'Elmessa y a présenté par Bouchard Arraïf pendant la semaine, vous serez accompagné par Yacine Dumbelnou. On se retrouve vendredi prochain pour infossoir week-end. Même heure, même endroit.